Joseph Raoux déroule les quatre saisons de sa vie. Une enfance à la campagne, à Saint-Jean-Le-Centenier ; il à trois ans lorsque la guerre de 1914 est déclarée. Neuf mois de guerre, de 1939 à 1940. Cinq années de captivité en Allemagne.
La renaissance d’un éducateur-bâtisseur, avec des chantiers exaltants. L’Ecole Publique de Cornas, de 1945 à 1957, l’encadrement de camps de vacances de jeunes à Saint-Martin-d’Ardèche, de 1950 à 1956, la direction de l’institut médico-pédagogique de Soubeyran, de 1957 à 1967.
La vie d’un pionnier, en somme, qui a toujours cru dur comme fer que les marmites commencent toujours à bouillir par le fond, jamais par le couvercle.
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